La continuité psychologique selon Derek Parfit
Examen critique d'un critère d'identité
de Dominique Tardif
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Acerca del libro
L’objectif de ce livre est d’apporter un regard critique sur la vision de l’identité personnelle selon Derek Parfit. Bien qu’il souhaite défendre la thèse de l’inimportance de l’identité personnelle plutôt qu’une thèse positive sur celle-ci, il admet dans ses écrits tardifs la nécessité de se prononcer minimalement puisque juger de l’inimportance de l’identité personnelle suppose une certaine conception de celle-ci.
Il proposera que la conception néo-lockéenne de l’identité, constituée par une continuité psychologique ancrée dans assez de cerveau pour la maintenir, est ce que nous avons de mieux comme critère d’identité, malgré que celui-ci échoue parfois à déterminer l’identité dans le temps d’une personne, ce pour quoi il affirmera que l’identité n’est pas ce qui importe. S’il advenait que des théories de l’identité puissent remplacer celle-ci, peut-être devrions-nous alors revoir la thèse de l’inimportance. Nous nous pencherons donc principalement sur la thèse corporelle de Judith Jarvis Thomson, l’animalisme de Eric Olson et le narrativisme de Paul Ricoeur, Daniel Dennett et Charles Taylor afin de voir si leurs critiques envers Parfit tiennent et s’il y aurait lieu de remplacer la thèse néo-lockéenne.
Nous devrons aussi ponctuellement étendre notre analyse pour expliquer et contrer certaines critiques, tel que nous le ferons avec la thèse de la survenance de Catherine Sutton lorsque nous voudrons rendre compte du problème du surplus de penseurs soulevé par Olson. Nous espérons montrer que la thèse néo-lockéenne est effectivement ce que nous avons de mieux si nous y adjoignons une conception narrativiste du Soi et que Parfit peut, à chaque étape, maintenir sa thèse de l’inimportance.
Il proposera que la conception néo-lockéenne de l’identité, constituée par une continuité psychologique ancrée dans assez de cerveau pour la maintenir, est ce que nous avons de mieux comme critère d’identité, malgré que celui-ci échoue parfois à déterminer l’identité dans le temps d’une personne, ce pour quoi il affirmera que l’identité n’est pas ce qui importe. S’il advenait que des théories de l’identité puissent remplacer celle-ci, peut-être devrions-nous alors revoir la thèse de l’inimportance. Nous nous pencherons donc principalement sur la thèse corporelle de Judith Jarvis Thomson, l’animalisme de Eric Olson et le narrativisme de Paul Ricoeur, Daniel Dennett et Charles Taylor afin de voir si leurs critiques envers Parfit tiennent et s’il y aurait lieu de remplacer la thèse néo-lockéenne.
Nous devrons aussi ponctuellement étendre notre analyse pour expliquer et contrer certaines critiques, tel que nous le ferons avec la thèse de la survenance de Catherine Sutton lorsque nous voudrons rendre compte du problème du surplus de penseurs soulevé par Olson. Nous espérons montrer que la thèse néo-lockéenne est effectivement ce que nous avons de mieux si nous y adjoignons une conception narrativiste du Soi et que Parfit peut, à chaque étape, maintenir sa thèse de l’inimportance.
Características y detalles
- Categoría principal: Referencia
-
Características: 13×20 cm
N.º de páginas: 88 -
ISBN
- Tapa blanda: 9780368599156
- Fecha de publicación: abr. 13, 2019
- Idioma French
- Palabras clave soi, personne, identité, Parfit
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