L’histoire de la famille BEAUDELOT, ou de la lignée des Jean Beaudelot puisqu'il y en a un à chaque génération: seulement deux dérogations à cette règle sur onze générations!
Elle va se dérouler dans un petit périmètre de la génération I à la XI à peine cinquante kilomètres: partant de l’Oise et ses petits villages tels Hadancourt le haut clocher, Boubiers, Serans au XVIIe siècle, les Beaudelot vont descendre à Paris au XIXe siècle, puis remonter vers les Yvelines pour s'établir à Versailles, Boissy Saint Léger, Meulan, Hardricourt.
De paysans (manouvriers à l’époque donc sans terre) à marchands de bois puis profession libérale, cadre…
Six générations dans l’Oise, trois à Paris, deux dans les Yvelines.
Avec une exception un André Beaudelot, menuisier, engagé à Saint Domingue au début du XVIIe siècle! Une aventure pas complètement élucidée que je vais me faire un plaisir de vous retracer!
Y sont adjoints, car ils sont très représentatifs de leur siècle, quelques collatéraux célèbres et remarquables:
- par leur vie amoureuse comme Jean Charles Beaudelot,
-ou par leur métier
graveur d’armoiries Oblin,
chocolatier Lasnier,
papetier-fondeur d’art Susse,
parfumeur Bleuze,
entrepreneur de maçonnerie Mazet,
ingénieur opticien Chevallier,
géomètres Heurtaut,
revuiste belge Malpertuis,

et bien sûr le graveur des monnaies Auguste François Michaut.